Au delà du fait d’avoir couru le marathon de Copenhague le 22 Mai avec Nicolas, le séjour aura été l’occasion de se faire une idée de la ville. A travers la course et les visites à pied j’en retiens quelques impressions contrastées et surtout un bilan positif:
- Il y a bien évidemment des monuments historiques et même quelques vieilles maisons en centre ville mais en dehors de ça l’impression générale est celle d’une ville récente avec de larges avenues et beaucoup de bâtiment, y compris ceux en briques des quartiers résidentiels, qui ne semble pas si vieux que ça. Un peu comme dans une ville américaine. Le lien entre ancien et récent voir très moderne est dans l’ensemble plutôt harmonieux.
- En dehors du centre et de ces quelques rues très commerçantes où se concentre les grandes enseignes, les vitrines sont plutôt ultra discrètes et l’on aurait presque du mal à identifier les commerces de loin. Peu de grosse publicités aussi. Point positif, nous ne sommes pas assaillis de messages à visée mercantiles et le pendant de cela est que ça manque parfois un peu d’animation visuelle.
- Une foultitude de chose biens, comme dans pas mal de ville du Nord: des trains de banlieue bien foutus, des pistes cyclables partout, des accès au métro facile pour les poussettes et personne à mobilité réduite, etc et en même temps des crottes de chien comme à Paris ou presque.
- Un point qui ne souffre pas de contraste en revanche ce sont les parcs qui sont nombreux et bien répartis dans la ville et bien paysagés. Et l’eau qui sous forme de canaux, ou de lac, est le lieux des promenades près des magnifiques bateaux amarrés à quai.
Au bilan Copenhague est une ville qui respire plutôt la douceur de vivre. Ci dessous quelques photos de la ville dont l’immanquable petite sirène. Petite remarque sur cette dernière, il y a un effet Joconde. Je m’explique. Tout le monde en parle, tout le monde l’associe à Copenhague, tout le monde va la voir, mais en fait elle est de taille modeste et pas si impressionnante, certains aiment d’autre pas. Elle a malgré tout une présence assez poétique.